Violences dans l'enfance
On s'imagine une fois adule que tout s'arrête, que c'est du passé, alors on avance. Ce n'est malheureusement pas la réalité de ceux qui ont vécus des violences dans l'enfance. Les violences, les blessures invisibles, sont encore là , vives et inscrites dans le présent.

Un lieu, une écoute à Perpignan
Je vous propose de venir au moins une fois, simplement pour libérer une parole.
Une première rencontre pour poser ce qui a été, pour que ce vécu ne reste plus enfermé.
Trop difficile de le dire ? Venez avec un mot, un écrit.
Si c'est trop dur, parlez-moi de l'article qui suit. Je comprendrais...

Les violences subies dans l’enfance : quand les blessures continuent de vivre en nous
Si vous lisez ces lignes, c’est peut-être que, quelque part en vous, une histoire douloureuse résonne encore.
Les violences — physiques, psychologiques ou sexuelles — laissent une empreinte que le temps seul ne suffit pas à effacer.
Même une fois adulte, il arrive que ces blessures se rappellent à nous : dans une angoisse soudaine, un sentiment d’insécurité, des relations compliquées, ou ce vide que rien ne semble combler.
Ces violences ont une mémoire.
Elles s’inscrivent dans le corps, dans la façon de penser, dans le rapport aux autres.
On croit parfois « avoir tourné la page »… et pourtant elles reviennent, silencieuses, dans nos nuits ou dans nos silences.
Quand la peur devient un compagnon de route
Grandir dans un climat de violence, c’est souvent apprendre à vivre dans l’alerte permanente.
Un bruit inattendu, un ton de voix un peu trop sec, un geste brusque… et le corps se tend, le cœur s’emballe.
Cette vigilance constante, utile pour survivre enfant, devient adulte une peur diffuse qui peut ronger le quotidien.
Parfois, c’est la peur d’être à nouveau trahi·e, la peur que l’autre fasse mal, ou la crainte de ne pas mériter l’amour.
D’autres fois, c’est une peur plus sourde, difficile à nommer : celle d’exister vraiment, de prendre sa place, comme si l’on risquait encore une punition.
Ces peurs ne sont pas une faiblesse.
Elles racontent simplement qu’un jour, il a fallu se protéger.
Vous n’êtes pas seul·e
Ce que vous avez vécu n’est pas de votre faute.
Et même si, aujourd’hui, vous portez encore ce poids, il est possible de commencer à le déposer.
Trouver une écoute bienveillante peut être le premier pas pour redonner sens et apaiser ce qui semble parfois impossible à dire.
Au cabinet à Perpignan, je vous propose — si vous le souhaitez — de venir au moins une fois, simplement pour libérer une parole.
Sans jugement, avec respect, nous pouvons ouvrir un espace où vos mots trouvent enfin leur place.
Trop difficile de le dire ? Venez avec un mot, un écrit.
Si c'est trop dur, parlez-moi de cet article. Je comprendrais....
Retrouver sa propre force
Parler, c’est déjà commencer à se réapproprier son histoire.
Petit à petit, un travail d’accompagnement permet de retrouver une confiance en soi, de renouer avec la joie, et de se sentir à nouveau auteur de sa vie.
Les violences de l’enfance ne disparaissent pas d’un coup, mais il est possible de ne plus leur laisser le dernier mot.
🌱 Vous avez le droit d’être entendu·e, de vous faire accompagner et de guérir.